Lady Bird : le petit oiseau va sortir
La fin de l’adolescence d’une jeune américaine de province et de classe moyenne filmée avec indolence par l’égérie du ciné indépendant nord-atlantique Greta Erwig.
Any resemblance with existing people or stuations is purely accidental.
La fin de l’adolescence d’une jeune américaine de province et de classe moyenne filmée avec indolence par l’égérie du ciné indépendant nord-atlantique Greta Erwig.
Pour ceux qui ne connaissent pas le cinéma de Guillermo Del Toro, voilà un film fin et touchant. Pour les autres, c’est « juste » la somme de l’oeuvre du mexicain, Pacific Rim en moins heureusement.
Le réalisateur de Beyond The Black Rainbow revient avec Mandy, qui promet d’être aussi barré que son premier film, avec Nicolas Cage en plus.
Un premier film de Sofia Djama nous emmène dans l’Algérie des années 2000, c’est à dire après la décennie noire pendant laquelle tous les Bataclans algériens ont explosé au moins deux fois.
Film transnational dramatique teinté de science-fiction, Realive rassemble à peu près tous les arguments contre les technologies qui voudraient nous donner plus de vie après la mort.
On croyait tout avoir vu en matière de terreur sur le « petit » écran. C’était sans compter sur Channel Zero et la culture web.
En même temps que CBS lance une nouvelle couvée Star Trek en série, la Fox sort The Orville, parodie de Star Trek. Pas de chance.
L’anthologie d’horreur se fait plus politique que jamais en dressant le portrait d’une société américaine rongée par ses contradictions à l’ère Trump.
Dans le concert de louanges qui accompagne la sortie de Blade Runner 2049, faisons entendre notre voix discordante.
Vu à l’Etrange Festival, une variation coréenne d’Un jour sans fin, sans la comédie et la morale en plus.
Le réalisateur et scénariste Taylor Sheridan aborde un sujet oublié à travers un polar plus amer qu’indien.
The American Astronaut est une comédie musicale de science-fiction-western, autant dire, un territoire méconnu à explorer pour peu qu’on ait un peu de témérité.
L’auteur le plus torturé de la science-fiction américaine se voit adapté en une anthologie prometteuse. Méfiance quand même.
Netflix, la petite chaîne qui monte, vient nous rappeler douloureusement la définition du téléfilm : un film de cinéma médiocre.
Il y a 26 ans s’achevait la seconde saison de Twin Peaks. Cette troisième n’a presque rien à voir mais est toute à regarder.
« Le Message », fresque de deux heures sur la vie du prophète de l’Islam est le travail du producteur Mustapha Akkad, à qui on doit aussi Halloween de John Carpenter.
Une histoire de braquage à 100 à l’heure mais qui rétro-pédale à la fin.
Même s’il y a à boire et à manger dans Okja, on reste un peu sur sa faim.
Efficace quoique prévisible, ce blockbuster taillé pour le marché mondial exploite notre nostalgie pour la culture pop des années 80.
Pris au piège de la discussion de fans, nous « dévoilons » quelques scènes coupées au montage de Alien : Covenant.