Mutafukaz : a tendance à bloquer
Film d’animation franco-japonais sorti en 2018, Mutafukaz ne raconte rien de spécial et bloque dans ses références à la culture pop du passé.
Any resemblance with existing people or stuations is purely accidental.
Film d’animation franco-japonais sorti en 2018, Mutafukaz ne raconte rien de spécial et bloque dans ses références à la culture pop du passé.
Un titre délirant pour un drame qui manque sérieusement d’humour.
Jaume Balagueró, auteur du fameux [Rec], raconte que le mal est plus terrifiant lorsqu’il se présente sous un visage bienveillant et quotidien. Avec Malveillance, l’espagnol a offert au public un des derniers thrillers à la Hitchcock des années 2010.
C’est indécent à quel point The Orville ressemble à Star Trek : The Next Generation. La seconde saison multiplie les points communs avec la série culte des années 90.
Un épisode de Black Mirror interactif ? Qu’importe la promesse, il y a quelque chose de spécial dans les images de Bandersnatch.
Sandra Bullock revient sur Terre le temps de subir une apocalypse qui condamne l’Humanité à survivre les paupières fermées.
Une comédie entre Gondry pour les effets surréalistes, et Spike Lee pour la critique sociale. Donc brillant.
« Encore un film de zombies” s’est on dit à la projection du PIFFF 2018. Sauf que Ne coupez pas ! a déjoué toutes nos attentes.
Des jeunes femmes, des jeunes garçons, du sexe, une petite ville pavillonnaire, le narcissisme 2.0 et un hacker : un film thèseux et mitigeant .
Un vrai remake d’une matrice gothique de Dario Argento par un réalisateur moderne fétichiste. Une expérience toutefois non dénuée d’intérêt.
French director Mélanie Laurent just made her “first american movie” adapted from Nic Pizzolatto’s first novel. We had a coup de foudre for this film noir.
La française Mélanie Laurent signe son « premier film américain » adapté du premier roman noir de Nic Pizzolatto, l’auteur de la série True Detective : magistral-e.
Bientôt dix ans que American Horror Story nous fait vibrer et nous déçoit. La huitième saison, Apocalypse, vient de démarrer aux Etats-Unis et en France et promet de boucler la boucle.
C’est une comédie musicale – de zombies – au lycée – à Noël – qui ouvre L’Etrange Festival 2018. C’est frais et sympa mais moins contagieux que la bonne humeur de son réalisateur, John McPhail.
En intégrant la machine dans l’homme, Upgrade raconte l’inverse de l’histoire de Robocop. Et c’est prequse aussi pire que chez Verhoeven.
Un bon film « de genre » tourné à Paris et avec des acteurs dramatiques ? Mais, c’est carrément de la science-fiction !
Un humoriste américain (et juif) est chargé par son gouvernement de rédiger un rapport de 500 pages sur « l’humour musulman » en Inde et au Pakistan. Une fiction qui méritait de déborder dans le réel.
Une infime partie de l’oeuvre de Neil Gaiman brillamment retranscrite à l’écran.
Distingué à Beaune 2018 par le Grand Prix, le premier film du chinois Yue Dong nous ramène en 1997 dans le sud industriel où la pluie lamine la terre, les machines, les hommes, et les femmes.
Le roman de Bradbury nous revient sous la forme d’un téléfilm, mais un téléfilm HBO avec Michael B. Jordan et Michael Shannon.