The Twilight Zone : aux frontières du possible
Faire aussi bien soixante ans après Rod Serling, une mission impossible acceptée par Jordan Peele.
Faire aussi bien soixante ans après Rod Serling, une mission impossible acceptée par Jordan Peele.
Brian is in the kitchen, Gad is dans la merde.
Dans les années 90, Michael Jackson aurait abusé sexuellement et psychologiquement de deux garçons de 7 et 10 ans, et du monde entier.
Un titre délirant pour un drame qui manque sérieusement d’humour.
C’est indécent à quel point The Orville ressemble à Star Trek : The Next Generation. La seconde saison multiplie les points communs avec la série culte des années 90.
Sandra Bullock revient sur Terre le temps de subir une apocalypse qui condamne l’Humanité à survivre les paupières fermées.
Une comédie entre Gondry pour les effets surréalistes, et Spike Lee pour la critique sociale. Donc brillant.
Des jeunes femmes, des jeunes garçons, du sexe, une petite ville pavillonnaire, le narcissisme 2.0 et un hacker : un film thèseux et mitigeant .
La française Mélanie Laurent signe son « premier film américain » adapté du premier roman noir de Nic Pizzolatto, l’auteur de la série True Detective : magistral-e.
Bientôt dix ans que American Horror Story nous fait vibrer et nous déçoit. La huitième saison, Apocalypse, vient de démarrer aux Etats-Unis et en France et promet de boucler la boucle.
Un humoriste américain (et juif) est chargé par son gouvernement de rédiger un rapport de 500 pages sur « l’humour musulman » en Inde et au Pakistan. Une fiction qui méritait de déborder dans le réel.
Une infime partie de l’oeuvre de Neil Gaiman brillamment retranscrite à l’écran.
Le roman de Bradbury nous revient sous la forme d’un téléfilm, mais un téléfilm HBO avec Michael B. Jordan et Michael Shannon.
On avait déjà vu et entendu des détournements mais comme ceux de Bad Lip Reading, jamais.
La fin de l’adolescence d’une jeune américaine de province et de classe moyenne filmée avec indolence par l’égérie du ciné indépendant nord-atlantique Greta Erwig.
Pour ceux qui ne connaissent pas le cinéma de Guillermo Del Toro, voilà un film fin et touchant. Pour les autres, c’est « juste » la somme de l’oeuvre du mexicain, Pacific Rim en moins heureusement.
Le réalisateur de Beyond The Black Rainbow revient avec Mandy, qui promet d’être aussi barré que son premier film, avec Nicolas Cage en plus.
On croyait tout avoir vu en matière de terreur sur le « petit » écran. C’était sans compter sur Channel Zero et la culture web.
En même temps que CBS lance une nouvelle couvée Star Trek en série, la Fox sort The Orville, parodie de Star Trek. Pas de chance.
L’anthologie d’horreur se fait plus politique que jamais en dressant le portrait d’une société américaine rongée par ses contradictions à l’ère Trump.