Etats-Unis

  • Room 237 : les fous de Shining

    Room 237 est un essai vidéo dont le but est d’éclairer sous un jour nouveau le Shining de Stanley Kubrick. Maladroit et inquiétant.

  • Cronenberg (fils) : la chair de la chair

    Le premier long métrage de Brandon Cronenberg est digne d’un David Cronenberg. Pour faire Antiviral, le fils a pris chair au père, très chair.

  • Washington à feu et à cendres

    Le réalisateur de Training Day met en images ce que Ben Laden avait seulement rêvé : bombarder Washington et prendre d’assaut la Maison-Blanche. Grâce à un peu d’imagination et des terroristes nord-coréens. Prémonitoire ?

  • Les bons sentiments de Quentin Tarantino

    Tarantino est capable d’éprouver des bons sentiments, et même de les exprimer, notamment pour Sally Menke, son ex-monteuse attitrée.

  • Branded : Moscou publicitaire

    Les films qui attaquent le marketing et la publicité sont une espèce rare. Une bonne raison de ne pas laisser passer cette coproduction américano-russe malgré ses défauts.

  • Les 100 vies d’Anthony Hopkins

    Cent-vingt quatre exactement, c’est le nombre de films dans lesquels Anthony Hopkins est apparu depuis ses débuts à l’écran, soit autant de personnages incarnés. Dans la vraie vie, il y a un rôle qu’on ne lui connaissait pas, celui d’auteur-réalisateur d’un métrage surprenant : Slipstream.

  • Indie – Time of the Master

    When a movie goes out the boundaries of genres it gets casted out. One can say it is then “independent”. So is Suspension, a fable about excess of power, half-fantasy, half-drama and half-something else. The movie remains misknown because it lacks stars and promotion.

  • Le temps du maître

    Quand un film ne respecte pas les règles des genres, il est marginalisé, on dit parfois qu’il est « indépendant ». Il en va ainsi de Suspension, fable sur l’excès de pouvoir, mi-fantastique, mi-dramatique, mise à l’index par manque de stars et de promotion. 

  • Le « Visage Spielberg »

    Il y a un motif visuel récurrent chez Spielberg comme une signature. C’est le « Visage Spielberg », et Kevin B. Lee nous l’explique dans un brillant essai vidéo retranscrit en français pour la première fois.