Les bienheureux : comme Ulysse
Un premier film de Sofia Djama nous emmène dans l’Algérie des années 2000, c’est à dire après la décennie noire pendant laquelle tous les Bataclans algériens ont explosé au moins deux fois.
Un premier film de Sofia Djama nous emmène dans l’Algérie des années 2000, c’est à dire après la décennie noire pendant laquelle tous les Bataclans algériens ont explosé au moins deux fois.
La jeune réalisatrice franco-algérienne qui nous avait accordé notre premier entretien aux débuts de motionXmedia, présente actuellement son premier long-métrage à la 74e Mostra de Venise.
La plasticienne et cinéaste Amina Zoubir, que nous avions rencontré à l’occasion du webdoc Un été à Alger, présente sa première exposition individuelle du 25 juin jusqu’au 17 juillet sur invitation de l’espace d’art contemporain Résidence 87 à Paris.
Un « feel good movie » ou « film qui fait du bien » tiré d’un fait réel, et qui fait glisser le sujet de la bi-nationalité sur une piste verte.
En 2009, le forum de l’émission s’est transformé en pugilat parce que l’image donnée de l’Algérie à fortement déplu au public algérien.
La journée de la Femme c’est tous les jours et dans tous les pays.
Our « short of the week of the month » comes for algerian director Yanis Koussim.
Un été à Paris en 2013, nous avons rencontré Amina Zoubir, réalisatrice du segment Prends ta place dans Un été à Alger
Production franco-algérienne, un Eté à Alger est un webdocumentaire qui nuance l’image de la capitale qu’on disait autrefois blanche.
Le court-métrage Mollement, un samedi matin de Sofia Djama continue son chemin dans les festivals.
Quand le Pentagone se matait « La Bataille d’Alger » en croyant pouvoir mater Bagdad.
Un violeur qui bande mou, une bureaucratie éculée, un plombier mal embouché, une femme dégoutée : c’est le portrait de l’Algérie d’aujourd’hui par Sofia Djama, prix du premier court-métrage au Festival de Clermont-Ferrand.