Qu’est-ce que c’est « MCU » ?
Le MCU c’est le Marvel Cinematic Universe (Univers Cinématographique Marvel en français). Il s’agit d’un
Le MCU c’est le Marvel Cinematic Universe (Univers Cinématographique Marvel en français). Il s’agit d’un
Un flic enquête sur le trafic d’une drogue qui donne des super-pouvoirs à ses usagers. Un film qui a le mérite d’exister et de ne pas commettre trop de fautes de goût.
Les adaptations de BD de super-héros au format série se suivent et ne se valent pas.
Le film le plus faible de la série X-Men n’est relié clairement à aucun des longs-métrages qui ont fait la réputation déjà bancale de la saga.
Le personnage féminin le plus trash mais pas le moins sympathique de l’univers Batman possède sa propre série, hardcore et vulgaire.
Prétendument du genre super-héros, Watchmen n’a rien à voir avec les habituels soaps pour ados du concurrent DC Comics.
La déclinaison en série télé du personnage de Batwoman n’est qu’un (mauvais) soap opera pour ados.
Cette relecture de Superman tombe dans le mythe de l’enfant du Mal comme le divulgue son sous-titre français.
Efficace quoique prévisible, ce blockbuster taillé pour le marché mondial exploite notre nostalgie pour la culture pop des années 80.
Une série du genre super-héros bouleverse les règles grâce à sa narration éclatée, comme l’esprit de son héros.
Le droit à une seconde chance, c’est ce que réclame le director’s cut d’un poids lourd mal accueilli par la presse et le public.
Sauver le monde au prix de l’amitié, un air déjà entendu pour le cinquième épisode de la franchise Marvel-Disney.
Il en faut peu pour diviser les super-héros préférés des Etats-Unis.
Netflix diffuse depuis une semaine une nouvelle série Marvel consacrée au super-héros aveugle Daredevil, avocat le jour sous le nom de Matt Murdock, justicier la nuit.
La bonne surprise de février 2015, c’est Birdman, un film d’auteur jazzy déguisé en film de super-héros ou inversement.
La série inspirée de l’univers de Batman avant Batman se fait éreinter par le public
Une série remet à leur juste place ces bêtes histoires de super-héros : finalement un truc d’ados marginaux, et britanniques.