Tag: sexisme

Qu’est-ce que c’est “male gaze” ?

Le regard masculin domine les arts visuels et le cinéma n’échappe pas à la règle.

Le premier long-métrage d’Eléonore Pourriat bientôt sur Netflix

La réalisatrice et scénariste du court-métrage très remarqué Majorité opprimée achève le tournage de son premier long-métrage au titre évocateur : Je ne suis pas un homme facile. Moon Dailly (OSS 117 : Rio ne répond plus) et Vincent Elbaz (Le péril jeune) occupent les premiers rôles de cette comédie co-écrite avec la scénariste Ariane Fert. Et

Et si on faisait genre on inverse les rôles ?

Enfin un court-métrage français engagé ! Majorité opprimée de Eléonore Pourriat est totalement dans l’air du temps en ce non-printemps 2014.

Qu’est-ce que c’est « le test de Bechdel » ?

C’est une bonne question, merci de l’avoir posée.

Le cinéma est politique, et aphrodiste (et sexiste)

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Et masculiniste, hétéronormé et spéciste. Si vous n’avez pas peur d’apprendre des nouveaux mots, la lecture de la revue Le cinéma est politique est recommandée.

Suspension : « l’inévitable abus de pouvoir des gens de pouvoir »

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Derrière Suspension, petit film inconnu au bataillon des chefs-d’oeuvre officiels, il y a trois jeunes créateurs âgés d’environ 26 ans à l’époque des faits (2008). Rencontre électronique par mail.

Sofia Djama : « La jeunesse algérienne ne doit pas se laisser mourir »

Au centre, la réalisatrice Sofia Djama, entourée d'une partie de ses comédiens et équipiers (D.R.).

Au centre, la réalisatrice Sofia Djama, entourée d’une partie de ses comédiens et équipiers (D.R.).

Le court-métrage Mollement, un samedi matin de Sofia Djama continue son chemin dans les festivals. Mais s’il fait l’ouverture à  Washington en avril, les rencontres ciné de Bejaïa, ville natale de l’auteur, lui ferment la porte. Nous avons rencontré la réalisatrice en février, pour un entretien « en dur ».

« Mollement, un samedi matin » : un conte de la frustration algérienne

Un violeur qui bande mou, une bureaucratie éculée, un plombier mal embouché, une femme dégoutée : c’est le portrait de l’Algérie d’aujourd’hui par Sofia Djama, prix du premier court-métrage au Festival de Clermont-Ferrand.