Qu’est-ce que c’est “male gaze” ?
On 31 mars 2020 by rachidouadahLe regard masculin domine les arts visuels et le cinéma n’échappe pas à la règle.
Le premier long-métrage d’Eléonore Pourriat bientôt sur Netflix
On 1 juillet 2017 by rachidouadahLa réalisatrice et scénariste du court-métrage très remarqué Majorité opprimée achève le tournage de son premier long-métrage au titre évocateur : Je ne suis pas un homme facile. Moon Dailly (OSS 117 : Rio ne répond plus) et Vincent Elbaz (Le péril jeune) occupent les premiers rôles de cette comédie co-écrite avec la scénariste Ariane Fert. Et
Et si on faisait genre on inverse les rôles ?
On 4 février 2014 by rachidouadahEnfin un court-métrage français engagé ! Majorité opprimée de Eléonore Pourriat est totalement dans l’air du temps en ce non-printemps 2014.
Qu’est-ce que c’est « le test de Bechdel » ?
On 20 janvier 2014 by rachidouadahC’est une bonne question, merci de l’avoir posée.
Le cinéma est politique, et aphrodiste (et sexiste)
On 6 novembre 2013 by rachidouadahEt masculiniste, hétéronormé et spéciste. Si vous n’avez pas peur d’apprendre des nouveaux mots, la lecture de la revue Le cinéma est politique est recommandée.
Suspension : « l’inévitable abus de pouvoir des gens de pouvoir »
On 6 septembre 2012 by rachidouadah
Derrière Suspension, petit film inconnu au bataillon des chefs-d’oeuvre officiels, il y a trois jeunes créateurs âgés d’environ 26 ans à l’époque des faits (2008). Rencontre électronique par mail.
Sofia Djama : « La jeunesse algérienne ne doit pas se laisser mourir »
On 22 avril 2012 by rachidouadahLe court-métrage Mollement, un samedi matin de Sofia Djama continue son chemin dans les festivals. Mais s’il fait l’ouverture à Washington en avril, les rencontres ciné de Bejaïa, ville natale de l’auteur, lui ferment la porte. Nous avons rencontré la réalisatrice en février, pour un entretien « en dur ».
« Mollement, un samedi matin » : un conte de la frustration algérienne
On 10 février 2012 by rachidouadahUn violeur qui bande mou, une bureaucratie éculée, un plombier mal embouché, une femme dégoutée : c’est le portrait de l’Algérie d’aujourd’hui par Sofia Djama, prix du premier court-métrage au Festival de Clermont-Ferrand.