The Kiffness : félins pour l’autre
Qualifier David Scott de youtubeur ou d’humoriste c’est ignorer complètement ses talents de musicien. L’honorer seulement en tant que musicien c’est aussi ignorer son talent comique.
Qualifier David Scott de youtubeur ou d’humoriste c’est ignorer complètement ses talents de musicien. L’honorer seulement en tant que musicien c’est aussi ignorer son talent comique.
Deux astrophysiciens découvrent une comète qui fonce droit vers la Terre. La fin est proche pour l’espèce humaine, et tout le monde s’en fiche.
En écoutant attentivement la musique originale de ce Kaamelott, on a découvert que deux films très différents cohabitent dans le même métrage. Mais l’auteur-homme-orchestre Alexandre Astier a choisi la comédie.
Albert Dupontel en réalisateur et scénariste nous rejoue sa partition anti-système au prix d’une grande mièvrerie.
On revient sur la série de Louis C.K. diffusée entre 2010 et 2015, où l’on pénètre dans l’univers sans concessions de l’humoriste de stand-up new-yorkais.
Deux cousins que les tempéraments opposent doivent s’entendre sur un contrat de vente de parts de la société viticole familiale. Le pitch de Mon cousin est peu réjouissant et le film aussi.
Le dernier Kervern-Delépine est plus glauque que drôle, et démonstratif comme une dissertation de Français niveau lycée.
Comédie hilarante, Tout simplement noir est aussi une vraie réflexion sur l’identité noire en France.
Editée en vidéo, la Palme d’or du dernier festival de Cannes se veut aussi populaire. Et pourtant elle nous déçoit.
YouTube propose un film interactif pour promouvoir sa plateforme de vidéos premium. Une fiction à choix multiples qui manque singulièrement d’ambition.
L’acolyte canadien de Quentin Tarantino signe un énième film d’action-thriller, inutilement violent.
Un nanar japonais culte refait surface dans un documentaire australien. Sauf qu’il n’a jamais existé.
Brian is in the kitchen, Gad is dans la merde.
Film d’animation franco-japonais sorti en 2018, Mutafukaz ne raconte rien de spécial et bloque dans ses références à la culture pop du passé.
C’est indécent à quel point The Orville ressemble à Star Trek : The Next Generation. La seconde saison multiplie les points communs avec la série culte des années 90.
Un humoriste américain (et juif) est chargé par son gouvernement de rédiger un rapport de 500 pages sur « l’humour musulman » en Inde et au Pakistan. Une fiction qui méritait de déborder dans le réel.
En même temps que CBS lance une nouvelle couvée Star Trek en série, la Fox sort The Orville, parodie de Star Trek. Pas de chance.
The Onion News est le cousin américain de Groland et le père spirituel du Gorafi.
Une femme enceinte se lance dans une série de meurtres sur les suggestions insistantes de son foetus.
L’acteur shakespearien préféré des geeks s’adonne à quelques excès dans une série de comédie américaine de mauvais goût. Quel gâchis.