Qu’est-ce que c’est « MCU » ?
Le MCU c’est le Marvel Cinematic Universe (Univers Cinématographique Marvel en français). Il s’agit d’un
Le MCU c’est le Marvel Cinematic Universe (Univers Cinématographique Marvel en français). Il s’agit d’un
Au Bangladesh, un mercenaire – australien – est chargé d’extrader le fils d’un mafieu local enlevé par un concurrent.
Un film de Michael Bay pour les petits écrans c’est encore moins commun qu’un Scorsese pour le même Netflix.
L’acolyte canadien de Quentin Tarantino signe un énième film d’action-thriller, inutilement violent.
Plus gore et agité que Ghostbusters dont il s’inspire à peine, cet avatar du cinéma d’Oz est bien intentionné, sans plus.
Un thriller terroriste européen mené par Brian De Palma d’une main tremblante.
Un nanar japonais culte refait surface dans un documentaire australien. Sauf qu’il n’a jamais existé.
Des jeunes femmes, des jeunes garçons, du sexe, une petite ville pavillonnaire, le narcissisme 2.0 et un hacker : un film thèseux et mitigeant .
En intégrant la machine dans l’homme, Upgrade raconte l’inverse de l’histoire de Robocop. Et c’est prequse aussi pire que chez Verhoeven.
Le réalisateur de Beyond The Black Rainbow revient avec Mandy, qui promet d’être aussi barré que son premier film, avec Nicolas Cage en plus.
Netflix, la petite chaîne qui monte, vient nous rappeler douloureusement la définition du téléfilm : un film de cinéma médiocre.
L’adaptation de l’animé de Mamoru Oshii ne manque pas de sentiments mais est dépourvue d’âme.
Un film d’action réaliste stigmatise une banlieue parisienne et confirme que « la plupart des dealers sont noirs ou arabes ».
Le réalisateur de Hunger Games enrôle Matthew McConaughey de Interstellar dans un biopic sur un personnage réel évacué de l’histoire des Etats-Unis. Rencontre post-projection.
Le droit à une seconde chance, c’est ce que réclame le director’s cut d’un poids lourd mal accueilli par la presse et le public.
Le héros de Limbo est un enfant, mais le jeu est pour les adultes.
Il en faut peu pour diviser les super-héros préférés des Etats-Unis.
Avec les premières expériences de documentaires ou de fictions en 360°, on se demande à nouveau : « où poser la caméra ? », mais cette fois c’est le spectateur qui décide de ce « cadre » hérité de l’oeil humain.
Le court-métrage suédois Kung Fury reproduit avec un talent fou toute la culture visuelle des années VHS et redonne du sens au mot « mindfuck ».
Un film d’aventures costumé basé sur le talent de ses comédiens plutôt que sur des effets spéciaux.