Dans la brume : Paris sous la bombe
Un bon film « de genre » tourné à Paris et avec des acteurs dramatiques ? Mais, c’est carrément de la science-fiction !
Un bon film « de genre » tourné à Paris et avec des acteurs dramatiques ? Mais, c’est carrément de la science-fiction !
Le roman de Bradbury nous revient sous la forme d’un téléfilm, mais un téléfilm HBO avec Michael B. Jordan et Michael Shannon.
Film transnational dramatique teinté de science-fiction, Realive rassemble à peu près tous les arguments contre les technologies qui voudraient nous donner plus de vie après la mort.
En même temps que CBS lance une nouvelle couvée Star Trek en série, la Fox sort The Orville, parodie de Star Trek. Pas de chance.
Une image rencontre des mots, qu’ont-ils de nouveau à nous dire ? A picture crosses the path of words, they must have something new to tell us.
Dans le concert de louanges qui accompagne la sortie de Blade Runner 2049, faisons entendre notre voix discordante.
The American Astronaut est une comédie musicale de science-fiction-western, autant dire, un territoire méconnu à explorer pour peu qu’on ait un peu de témérité.
L’auteur le plus torturé de la science-fiction américaine se voit adapté en une anthologie prometteuse. Méfiance quand même.
Netflix, la petite chaîne qui monte, vient nous rappeler douloureusement la définition du téléfilm : un film de cinéma médiocre.
Pris au piège de la discussion de fans, nous « dévoilons » quelques scènes coupées au montage de Alien : Covenant.
Le réalisateur à l’origine du monstre le plus célèbre du cinéma nous joue un effroyable tour de passe-passe.
L’adaptation de l’animé de Mamoru Oshii ne manque pas de sentiments mais est dépourvue d’âme.
On vous laisse juger du premier trailer de Alien: Covenant, de Ridley Scott, à paraître en mai 2017.
Matt Damon et Ben Affleck lancent une série d’anticipation à venir sur les écrans français, un jour.
Adaptée d’un roman de Philip K. Dick, une série nous emmène dans une réalité où les nazis ont gagné la guerre.
You call this homage, we call this plagiarism.
Certains appellent cela un hommage. Nous préférons parler de plagiat.
Une mini-série de Netflix propose de revivre les années 80 telles qu’elles nous furent racontées par Spielberg.
Le droit à une seconde chance, c’est ce que réclame le director’s cut d’un poids lourd mal accueilli par la presse et le public.
De nouveau, un film indépendant américain nous surprend par un discours et une réalisation sans lustre et pourtant brillants.