horreur
-
La nuée : phase I
Il faut soutenir le cinéma de genre français, même si les films en question ne cassent pas trois pattes à un canard.
-
Lovecraft Country : l’indicible horreur de l’homme blanc
Exceptionnelle par son casting en majorité noir ET son genre horrifique, la série Lovecraft Country l’est moins par sa narration.
-
Les nouveaux mutants : breakfast club
Le film le plus faible de la série X-Men n’est relié clairement à aucun des longs-métrages qui ont fait la réputation déjà bancale de la saga.
-
Dracula : trois fois sang frais
Une nouvelle adaptation du roman de Bram Stoker, imparfaite, mais qui a le mérite de tenter de nouvelles idées.
-
Love, Death + Robots : rêves de fer
David Fincher a trouvé le prétexte d’une anthologie pour produire dix-huit très beaux courts-métrages animés.
-
Dans les hautes herbes : en terrain connu
Stephen King est l’auteur le plus mal adapté à l’écran. « Dans les hautes herbes » n’échappe pas à la malédiction.
-
It! The Terror from Beyond Space + Alien
Everything is a remix.
-
Nekrotronic : histoire de fantômes australiens
Plus gore et agité que Ghostbusters dont il s’inspire à peine, cet avatar du cinéma d’Oz est bien intentionné, sans plus.
-
Brightburn : le Mal élevé
Cette relecture de Superman tombe dans le mythe de l’enfant du Mal comme le divulgue son sous-titre français.
-
Ne coupez pas ! : déjà cu(l)t – PIFFF 2018
« Encore un film de zombies” s’est on dit à la projection du PIFFF 2018. Sauf que Ne coupez pas ! a déjoué toutes nos attentes.
-
Assassination Nation : génération(s) perdue(s) – PIFFF 2018
Des jeunes femmes, des jeunes garçons, du sexe, une petite ville pavillonnaire, le narcissisme 2.0 et un hacker : un film thèseux et mitigeant .
-
Suspiria (2018) : mamma tua
Un vrai remake d’une matrice gothique de Dario Argento par un réalisateur moderne fétichiste. Une expérience toutefois non dénuée d’intérêt.