Fiction
« Mollement, un samedi matin » : un conte de la frustration algérienne
On 10 février 2012 by rachidouadahUn violeur qui bande mou, une bureaucratie éculée, un plombier mal embouché, une femme dégoutée : c’est le portrait de l’Algérie d’aujourd’hui par Sofia Djama, prix du premier court-métrage au Festival de Clermont-Ferrand.