Sofia Djama : « La jeunesse algérienne ne doit pas se laisser mourir »
Le court-métrage Mollement, un samedi matin de Sofia Djama continue son chemin dans les festivals.
Le court-métrage Mollement, un samedi matin de Sofia Djama continue son chemin dans les festivals.
Un violeur qui bande mou, une bureaucratie éculée, un plombier mal embouché, une femme dégoutée : c’est le portrait de l’Algérie d’aujourd’hui par Sofia Djama, prix du premier court-métrage au Festival de Clermont-Ferrand.