Clermont-Ferrand
-
Sofia Djama : « La jeunesse algérienne ne doit pas se laisser mourir »
Le court-métrage Mollement, un samedi matin de Sofia Djama continue son chemin dans les festivals. Mais s’il fait l’ouverture à Washington en avril, les rencontres ciné de Bejaïa, ville natale de l’auteur, lui ferment la porte. Nous avons rencontré la réalisatrice en février, pour un entretien « en dur ».
-
« Mollement, un samedi matin » : un conte de la frustration algérienne
Un violeur qui bande mou, une bureaucratie éculée, un plombier mal embouché, une femme dégoutée : c’est le portrait de l’Algérie d’aujourd’hui par Sofia Djama, prix du premier court-métrage au Festival de Clermont-Ferrand.