Le mot showrunner est apparu avec les séries télé de la génération Soprano. On a alors cessé de parler de producteurs pour désigner les nouveaux maîtres d’oeuvres de ces créations souvent collectives, pour dire peut-être que le pouvoir était en train de passer enfin à la création. On connaît très mal nos propres scénaristes-en-chefs ou showrunners, aussi Télérama leur consacre un trombinoscope pour coller un nom et un visage à un titre de série. On reconnaît heureusement Fredéric Krivine (Un Village français), Eric Judor (Platane), et Eric Rochant (Le Bureau des légendes). Quant aux autres… En prime, l’hebdomadaire consacre un dossier aux difficultés des scénaristes français face à la « frilosité des grandes chaînes« .
A lire sur Télérama.