Undone : Alma au pays des merveilles
Une belle série prometteuse nous emmène dans l’esprit cassé d’une jeune américaine avec des antécédents chamaniques.
Une belle série prometteuse nous emmène dans l’esprit cassé d’une jeune américaine avec des antécédents chamaniques.
Ce documentaire sur les origines d’Alien appelle, comme le tout premier film, à une suite.
Plus gore et agité que Ghostbusters dont il s’inspire à peine, cet avatar du cinéma d’Oz est bien intentionné, sans plus.
La suspension de l’incrédulité dicte tout notre rapport à la fiction.
Un détenu violent et asocial va trouver une forme de rédemption dans sa relation avec un mustang, un cheval aussi sauvage que lui.
Cette histoire de personnalités multiples transpire Hitchcock par tous les pores, parce que c’est De Palma.
Une affiche trop belle pour être vraie : un peu de Dylan dans ce documentaire superficiel, et très peu de Scorsese.
Cette relecture de Superman tombe dans le mythe de l’enfant du Mal comme le divulgue son sous-titre français.
Jordan Peele est l’étoile montante du cinéma et de la télévision U.S. Et c’est une étoile noire, confirmée.
Dans ses grandes heures, Elton John s’est pas mal envoyé en l’air.
The Kiss est en 1896 le premier film à représenter un baiser sur écran argentique.
Un nanar japonais culte refait surface dans un documentaire australien. Sauf qu’il n’a jamais existé.
Brian is in the kitchen, Gad is dans la merde.
Dans les années 90, Michael Jackson aurait abusé sexuellement et psychologiquement de deux garçons de 7 et 10 ans, et du monde entier.
L’ascension irrésistible de Dick Cheney, de ses débuts comme stagiaire au Sénat, jusqu’à la Maison
Film d’animation franco-japonais sorti en 2018, Mutafukaz ne raconte rien de spécial et bloque dans ses références à la culture pop du passé.
C’est indécent à quel point The Orville ressemble à Star Trek : The Next Generation. La seconde saison multiplie les points communs avec la série culte des années 90.
Une comédie entre Gondry pour les effets surréalistes, et Spike Lee pour la critique sociale. Donc brillant.
« Encore un film de zombies” s’est on dit à la projection du PIFFF 2018. Sauf que Ne coupez pas ! a déjoué toutes nos attentes.