Severance : le sale air du labeur
Quatre employés de bureau d’une entreprise nébuleuse essaient de donner du sens à leur travail. Mais plus ils cherchent, plus le mystère s’épaissit.
Quatre employés de bureau d’une entreprise nébuleuse essaient de donner du sens à leur travail. Mais plus ils cherchent, plus le mystère s’épaissit.
Nous avons patiemment attendu la fin de la première saison de Foundation, d’après Isaac Asimov, pour apprécier cette série qu’on peut voir sur Apple TV+. Verdict ?
Arnaud et Jean-Marie Larrieu nous offrent un voyage dans leur ville d’origine, Lourdes, où va se produire un miracle musical.
Un jeune soldat de l’opération Sentinelle patrouille dans les rues de Paris en quête d’action et de sens
Le Dune tant attendu de Denis Villeneuve n’est pas le messie cinématographique annoncé.
Une version restaurée de « Cure », et enrichie de bonus, est l’occasion de revenir sur le thriller fantastique de Kiyoshi Kurosawa, sorti il y a presque 25 ans.
Un documentaire français revient sur l’étoile filante Satoshi Kon, qui laisse derrière lui quatre longs-métrages d’animation inoubliables.
Tiré d’une histoire vraie, le second film d’Arthur Harari pourrait décevoir par son style suranné et sa longueur dissuasive.
En écoutant attentivement la musique originale de ce Kaamelott, on a découvert que deux films très différents cohabitent dans le même métrage. Mais l’auteur-homme-orchestre Alexandre Astier a choisi la comédie.
Qu’il plaise ou non, voilà un film qui a marqué l’histoire du cinéma hier soir en recevant la Palme d’or au 74e festival de Cannes.
Dans la Toscane du 17e siècle, soeur Benedetta est traversée par des visions où elle s’imagine « l’épouse de Jésus », mais aussi de pulsions lesbiennes.
Un flic enquête sur le trafic d’une drogue qui donne des super-pouvoirs à ses usagers. Un film qui a le mérite d’exister et de ne pas commettre trop de fautes de goût.
L’enfant terrible du cinéma français – parmi les plus créatifs – signe son retour en fanfare, après un déjà étonnant Holy Motors.
Les frères Coen du cinéma français nous offrent leur vision personnelle du film de loup-garou.
Les adaptations de BD de super-héros au format série se suivent et ne se valent pas.
Un jeune homme avide de reconnaissance se lance dans le transport-assassinat de personnes pour faire le buzz.
Exceptionnelle par son casting en majorité noir ET son genre horrifique, la série Lovecraft Country l’est moins par sa narration.
Où il est question d’alcool et de crise de la cinquantaine chez des sujets masculins. Un film en forme d’ode à la vie et à la jeunesse – perdue.
On revient sur la série de Louis C.K. diffusée entre 2010 et 2015, où l’on pénètre dans l’univers sans concessions de l’humoriste de stand-up new-yorkais.
Deux cousins que les tempéraments opposent doivent s’entendre sur un contrat de vente de parts de la société viticole familiale. Le pitch de Mon cousin est peu réjouissant et le film aussi.