Fahrenheit 451 : les cris restent
Le roman de Bradbury nous revient sous la forme d’un téléfilm, mais un téléfilm HBO avec Michael B. Jordan et Michael Shannon.
Le roman de Bradbury nous revient sous la forme d’un téléfilm, mais un téléfilm HBO avec Michael B. Jordan et Michael Shannon.
On avait déjà vu et entendu des détournements de doublages audio, mais pas comme ceux de Bad Lip Reading, jamais.
La fin de l’adolescence d’une jeune américaine de province et de classe moyenne filmée avec indolence par l’égérie du ciné indépendant nord-atlantique Greta Erwig.
Pour ceux qui ne connaissent pas le cinéma de Guillermo Del Toro, voilà un film fin et touchant. Pour les autres, c’est « juste » la somme de l’oeuvre du mexicain, Pacific Rim en moins heureusement.
Le réalisateur de Beyond The Black Rainbow revient avec Mandy, qui promet d’être aussi barré que son premier film, avec Nicolas Cage en plus.
On croyait tout avoir vu en matière de terreur sur le « petit » écran. C’était sans compter sur Channel Zero et la culture web.
En même temps que CBS lance une nouvelle couvée Star Trek en série, la Fox sort The Orville, parodie de Star Trek. Pas de chance.
L’anthologie d’horreur se fait plus politique que jamais en dressant le portrait d’une société américaine rongée par ses contradictions à l’ère Trump.
Dans le concert de louanges qui accompagne la sortie de Blade Runner 2049, faisons entendre notre voix discordante.
Le réalisateur et scénariste Taylor Sheridan aborde un sujet oublié à travers un polar plus amer qu’indien.